Travaux Chez L’Oncle Et La Tante De Julien (6): Un Étrange Cocktail.

Cela fait plus de 2 semaines que Julien et moi faisons des petits travaux dans la maison de campagne de l’oncle de mon pote, Francis, et sa femme, Sandrine. Nous passons les week end tous les 4 mais en semaine Francis repart travailler et nous laisse seuls avec sa coquine d’épouse.

Nos moments à 3 sont occupés par du décapage, rebouchage de trous… mais aussi des moments plus sexuels. En effet Sandrine à commencer à nous chauffer par un bronzage en bikini puis intégral avant de se masturber alors que nous l’observions depuis notre fenêtre. Entre la chaleur de la machine à vapeur et de l’excitation nous avons préféré continuer travailler à poil.

C’est comme qu’elle nous a surpris nus et en érection et que la température a un peu plus monté par une masturbation dans le hammam improvisé. Ensuite, comme le ballon d’eau chaude est petit, nous nous douchons à 3 et réitérons nos séances de branlette. Il y a même une fois ou elle nous a demandé de nos savonnez l’un l’autre alors qu’elle se caressait en nous observant.

Puis elle a voulu nous raser entièrement le costume trois pièces en prétextant qu’elle ne supporte pas avoir de poil dans la bouche. Nous nous sommes laisser faire en passant aux fellations à venir. Malheureusement nous avons du attendre quelques jours mais ça en valait le coup.

Jeudi dernier Laëtitia, une petite brune, copine de la tante de Julien, est venue nous rejoindre pour l’après midi. Elles nous ont d’abord offert un spectacle où Sandrine à sensuellement badigeonner, de crème solaire, le corps nu de son amie. Ensuite elles nous ont appelé pour nous nous occupions de leurs dos et fesses en nous laissant aussi profiter de leurs vulves.

Une demi heure plus nous les avons, de nouveau rejoint pour leur crémer le côté pile. Elles nous ont demandé de d’abord nous badigeonner mutuellement tout le corps sans oublier l’entrejambe. Puis nous nous sommes occupés de leurs poitrines et leurs monts de Vénus, elle nous ont branlés.

Juste avant que leurs lèvres touches nos glands et elles se sont arrêtés et nous demander de nous nettoyer les queues avec la bouche de l’autre.

Après une longue discussion, nous avons fini par accepter. Pour Julien c’était une grande première, il a même apprécier ma pipe. Quand à moi j’avais déjà eu des relation avec 2 hommes donc j’ai juste confirmé mon côté bi avec beaucoup de plaisir. Elles nous enfin sucé puis nous ont offert leurs sexes. Sandrine et Laëtitia se sont branlés mutuellement, Julien et moi avons fait de même jusqu’à arroser leur poitrine avant d’étaler nos spermes sur leurs corps.

La fin de soirée à été plus calme, même si une fois dans notre chambre commune, mon pote et moi nous sommes masturbés en lisant les magazines échangistes trouvés dans les cartons. Même si l’après midi a déjà été bien chaude, nous savons que les prochains jours seront plus calme car Francis vient nous rejoindre pour le week end. Nous nous branlons à 2 reprises, chacun de notre côté, avant de nous écrouler.

Le vendredi la journée de travail se passe bien. Après un sandwich dévoré dans le jardin nous nous rhabillons tous pour ne pas être surpris à poil par l’oncle de Julien. A son arrivée nous avons tout juste fini ce que nous devions faire dans la semaine, hier nous avons pas eu tellement la tête aux travaux et avant pris du retard.

Le soir, nous sommes tous les deux crevés et nous allons nous coucher de bonne heure. Motivés par les hurlements de Sandrine nous nous masturbons en les écoutant. J’ai très envie de tendre ma main pour branler mon pote mais j’ai peur de le bloquer. Sous les ordres de Sandrine il se laisse faire mais quand on est juste nous deux, j’ai peur de le bloquer. Nous finissons par nous endormir alors qu’ils font encore l’amour.

Le lendemain nous faisons plusieurs allé retour à la déchèterie avec Francis, puis nous allons acheter des pots de peinture. Le dimanche, nous répartissons les couleurs selon les chambres et nous commençons à repeindre la première pièce qui deviendra notre future chambre à Julien et moi.
Pour finir le week end, Francis nous invite au restaurant. Comme la soirée est bien arrosé, nous nous écroulons en rentrant.

Le lundi, quand nous nous réveillons, l’oncle de Julien est déjà parti travailler. Nous pouvons enfin reprendre nos bonnes habitudes et descendre prendre le petit déjeuner à poil. Toujours nus, nous passons la journée à passer la première couche de peinture dans la deuxième chambre. C’est quand même beaucoup moins rapide à 2, surtout que Francis travaille vite, du coup nos posons nos pinceaux qu’après 20 heures.

Quand nous descendons rejoindre Sandrine dans la cuisine, le repas est presque prêt alors elle nous ordonne d’avancer à la salle de bain pour nous raser le pubis afin qu’elle puisse de nouveau profité de nos costumes 3 pièces bien lisses. Nous nous exécutons et entendons qu’elle nous rejoigne pour rentrer sous la douche. Une fois sous l’eau chaude, elle nous demande de nous savons l’un l’autre. En nous observant elle se caresse.

Une fois que nos deux corps sont complément mousseux, elle s’agenouille et nous demande de nous vider sur ses gros seins. Nous nous exécutons avec plaisir alors qu’elle continue de se caresser la chatte et la poitrine. Julien jouit le premier, elle s’amuse à étaler son sperme sur son corps ce qui me fait immédiatement éjaculer. Elle fait la même chose avec mon jus, nous nous rinçons et descendons diner.

Pendant le repas Julien commence à piquer du nez, en bonne patronne Sandrine nous ordonne d’aller nous coucher pour être en forme pour le lendemain. Un peu déçu de na pas aller plus loin, après avoir débarrasser nous montons dans notre chambre. Julien s’endort quelques instants après s’être allongé, je profite de la lampe de chevet pour lire les annonces et les histoires érotiques des différents magazines porno qui sont dans le carton.

Après m’être vidé les couilles grâce à la lecture mais aussi en imaginant les gros seins de Sandrine, sa chatte orné d’un joli triangle blond clair… mais je repense aussi aux fesses et à la bite de Julien.
Il ne le sait pas mais ça fait un moment que je fantasme sur lui et que j’ai envie d’aller plus loin que nos branlettes côte à côte. Plus le temps passe plus je me dis que ces travaux chez Sandrine et Francis vont nous payer nos vacances mais aussi nous apporter beaucoup plus.

Le lendemain matin, la belle blonde nous réveille en sursaut, nous nous sommes tous laisser aller et il est déjà 10 heures. Aujourd’hui nous devons passer la deuxième couche dans ce qui va devenir notre nouvelle chambre. En fait la peinture, c’est comme le reste, plus on pratique plus on s’ameliore. Du coup, malgré le réveil tardif, nous donnons le dernier coup de pinceau vers 18 heures.

Comme nous avons encore du temps avant de passer à table, Julien et moi décidons de déménager les affaires qui sont dans notre chambre actuelle. Comme nous allons encore passer deux nuits dans celle là nous laissons uniquement le lit, nos sacs et le cartons avec les magazines érotiques. Sandrine monte voir où on en est est, épatée par le boulot que nous avons abattu, elle nous dit:
« Pour vous récompenser on va se faire un apéro! »

Elle nous quitte pour aller tout préparer et nous dit d’aller se doucher car elle est déjà passer à la salle de bain. Elle ferme la porte et la réouvre immédiatement en nous lançant:
« Si vous avez envie de vous savonner l’un l’autre, malgré mon absence ne vous en privez pas! Vous me raconterez après! »
Elle nous fait un clin d’oeil et nous laisse. Je suis en demi molle mais Julien est complètement flasque.

Sous la douche, chacun reste de son côté. Même si j’ai très envie de m’approcher de mon ami et caresser son corps et plus particulièrement sa queue et son cul, je me retiens. Une fois propre nous descendons dans la cuisine, toujours à poil. Nous rejoignons Sandrine, elle aussi nue, qui a préparer des olives, des chips… et des verres à cocktails.

Quand elle remarque notre présence, elle annonce:
« Je veux profiter de votre présence pour boire un cocktails très spécial.
 »
En entendant « très spécial », Julien et moi nous regardons en nous demandant ce qu’elle nous réserve encore. Trop impatient de le savoir, je lui demande:
« On peut t’aider pour quelque chose? »
Elle nous regarde avec un aire coquin et nous demande si on a déjà pris des boissons aphrodisiaque.

Mon pote et moi nous regardons à nouveau puis nous tournons vers elle avec un air interrogateur, alors elle nous demande:
« Vous savez ce que ça veut dire aphrodisiaque? »
Nous lui faisons tous les deux oui de la tête alors elle att le shaker de la table, le tend à Julien et lui lance:
« Ejacule la dedans! »

Il met un moment à attr le récipient, encore plus à le placer vers son entrejambe. Il commence à se caresser mais à du mal à bander même si nous ne nous sommes pas branler dans la salle de bain. Sandrine lui demande, en s’approchant de lui:
« Tu veux qu’on t’aide? »
Il lui répond positivement avec un grand sourire. Elle m’invite à aller derrière mon ami pour le motiver alors qu’elle s’occupe du devant.

Elle lui embrasse le cou alors que ses mains caressent la poitrine de son neveu. Je viens lui masser les épaules et le dos. Je me penche un peu et remarque qu’il commence à gonfler. La bouche de Sandrine descend sur les tétons, les mordilles légèrement puis continue sa course pour lui lécher les couilles. Alors que mes mains passent sur ses flancs, il commence à se branler.

Je me penche de nouveau pour le regarder et sans même le faire exprès ma queue vient se coller à sa raie. Il s’excite de plus en plus sur sa tige alors que sa tante continue de lui bouffer les couilles tout en se masturbant. Il balance assez rapidement quelques belles giclées directement dans le shaker. Sandrine le récupère, le place sous sa chatte et appuie sur son pubis pour faire couler des gouttes de mouilles.

Une fois qu’elle a finit, elle me tend le récipient en me disant:
« A ton tour! »
Je suis déjà bien excité par la situation et quand je me présente devant elle, ses lèvres gobe directement une de mes couilles alors que sa main monte me pincer les tétons. Je gémis assez rapidement tout en me masturbant.

Julien est un peu plus timide dans ses gestes sur moi, ses mains me caressent les bras mais il ose à peine s’approcher. Emporté par la curiosité, il s’approche pour regarder ce que sa tante me fait. Je sens que sa queue est toujours plutôt raide, je sens même un petit goutte de son sperme couler sur mon dos et venir glisser dans ma raie. Au moment où je sens ma rondelle s’humidifier, je jouis à mon tour dans le bocal.

Sandrine qui a continué de se caresser, remet de la mouille en plus grande quantité puis se relève. Elle va vers le placard où ils rangent les alcool, elle verse different alcool mais aussi du soda et du tabasco et tout en remuant nous dit:
« C’est génial, il y a en plein, vous allez pouvoir goûter! »
Julien me regarde avec dégoût, ça ne me dérange pas car j’ai souvent avaler mon sperme et même celui d’autres hommes mais je l’imite quand même.

Elle rempli complètement les 3 verres et quand elle tend le sien à mon ami, timidement il lui demande:
« Je peux pas boire autre chose? »
Elle pose le verre devant lui me tend le mien que j’att et lui répond:
« Tu peux mais c’est dommage. Comme je vous ai dit, c’est aphrodisiaque alors imaginez tout ce qu’on va faire après avoir bu ça. »

Elle soulève son verre pour que l’on trinque, je fais comme elle mais Julien met quelques instants avant de venir cogner son verre contre les nôtres. Après le traditionnel « Santé », mon pote et moi buvons une petite gorgée alors que Sandrine avale la moitié de son verre. Julien fait une grimasse en reposant son verre, Je pense pas que ça soit parce que j’ai plus l’habitude du gout du sperme mais je trouve qu’avec tous les autres ingrédient on ne le sens même pas mais je grimace aussi.

Avec un grand sourire, elle nous demande:
« C’est bon? »
Ne voulant pas la vexer et surtout perdre ses chances pour la suite, son neveu lui répond:
« Pas mal! »
Je surenchéri:
« C’est rafraichissant en tout cas! »
« Je suis contente que ça vous plaise, allez on finit nos verres cul sec! »

En pensant à la suite de la soirée qui s’annonce très chaude nous buvons nos verres d’un trait. Sandrine vide le shaker en 3 parts égale, Julien se dépêches de le vider pour éviter de sentir le goût et se jette sur les chips comme un gamin à qui on oblige de manger des brocolis. Sa tante et moi le dégustons tout en grignotant.

Aussi bien pendant l’apéro que le repas, je débande pas en imaginant la suite du programme. Je jette quelques coups d’oeil sur Julien qui a l’air dans le même état que moi. Sandrine et toute guillerette et se caresse régulièrement la poitrine ce qui nous aide pas à nous calmer. Peut être que ce cocktail est vraiment un aphrodisiaque et que c’est lui qui nous met dans cet état!

En tout cas 10 000 scénarios défilent dans ma tête quand le téléphone de la maison sonne, ça doit être le coup fil quotidien de Francis. Sandrine se lève pour aller répondre:
« Allo… oui… c’est bien moi… pardon?… vraiment?…. très bien je me dépêche. »
Elle raccroche et s’excuse en nous disant qu’elle doit partir en urgence.

Elle monte à l’étage et redescend quelques minutes plus tard habillée et coiffée. Elle nous dit qu’elle risque de rentrer tard et de ne pas l’attendre pour aller se coucher. Elle s’excuse encore une fois, nous dépose un bisou sur la joue et part en courant. Une fois que la porte à claquer, Julien me lance dépité:
« Je suis dégoûté, j’ai bu son cocktail dégueulasse au sperme pour rien! »

Je rigole intérieurement et toujours en érection, je lui réponds:
« En plus, je sais pas pour toi, mais chez moi c’est vraiment aphrodisiaque! »
Je lui montre mon sexe dressé, il me fait voir qu’il est dans le même état que moi et me propose:
« On peut toujours se consoler avec leurs magazines! »
Nous finissons de tout ranger, toujours assez dur de la bite et montons dans notre chambre.

Julien s’allonge sur le dos, la queue à la main et se branle tout en lisant. Je suis sur le coté, je lui tourne le dos et me branle en lisant des annonces. Une, avec photo, m’interpelle plus que les autres alors j’appelle mon pote:
« Julien vient voir, je crois que c’est ta tante! »
Il vient se coller à moi sa bite bien dure se cale entre mes fesses.

Une fois que nous sommes tous les deux d’accord que c’est bien elle, je lis l’annonce à haute voix:
« Couple bisexuel. Madame 38 ans blonde avec des formes généreuses, totalement épilée à part un petit triangle. » 
Julien commence à faire coulisser sa queue contre mon cul, je le laisse faire et continue de lire:
« Monsieur 42 ans, plutôt bien monté et totalement rasé, actif passif. Cherchons femme bi, homme bi ou couple bi pour faire l’amour sans tabous. »

Alors qu’il s’excite de plus en plus entre mes fesses, je ferme le magazine pour voir la date, il a que quelques mois. Je retourne sur la page et lance à mon ami qui continue de se branler entre mes deux globes fessiers:
« Tu veux pas m’enculer tant que tu y es? »
Même si l’intonation de ma question est réthorique, j’aurai très envie qu’il le fasse.

Alors qu’il continue de se frotter à moi, il me répond:
« Non mais je suis trop excité, laisse moi finir et ensuite tu pourras me faire pareil. »
« Ok, mais je préfère que tu me suce! »
Tout en gémissant il me répond:
« Mais je t’avale pas. »
Une lumière s’allume dans ma tête et pour encore plus le motiver, j’ondule du bassin.

Je n’ai jamais vu Julien dans un tel état d’excitation, ses doigts se referment fermement sur mes épaules. Je sens sa bite être prise de spasme entre mes fesses et une première giclée vient s’écraser sur mon dos. Immédiatement je me retourne, empoigne sa queue et le branle pour qu’il se vide sur mon costume trois pièces. Je continue de le masturber jusqu’à ce qu’il ramollisse mais ne redevient pas complément flasque.

Je relâche son sexe et lui dit:
« A moi! »
« Va te laver d’abord! »
« Ben, non. Pourquoi? »
« C’est dégueulasse, tu es plein de sperme! »
« C’est pas dégueulasse puisque c’est le tien! »
Il hésite un moment et me répond, peut être toujours grâce au cocktail:
« D’accord mais après tu avales le tiens, alors! »

Il croyait peut-être me bloquer mais il ne sait pas que seul, je bois régulièrement mon jus après mes séance de branlette. J’écarte mes jambes et il vient s’installer entre elles. Il se penche sur ma bite et la prend en bouche, il fait des allers retours assez lent et au passage avale pas mal de jus. Il me recrache et tout en me branlant, me dit:
« C’est moins mauvais que je pensais. »

Il continue de me branler et se met à lécher mes couilles lisse qui elle aussi sont recouvertes de son jus. Une fois qu’elles sont propres, il les gobe une après l’autre et remonte le long de ma tige. Il est beaucoup plus doué que lorsqu’il a enlevé la crème solaire de ma bite, je prends un pied de malade. Ses lèvres coulissent le long de mon sexe alors que ses mains s’occupent de mes couilles.

Il me suce avec passion pendant une bonne dizaine de minutes. Même s’il vient de jouir, je sens régulièrement sa queue se contracter contre mon mollet. Je me retiens au maximum mais j’arrive au bout de mes forces. Pour pas le prendre en traitre, je le préviens que je vais jouir. Il continue sa pipe jusqu’à ce que j’expulse mon premier jet puis il me fait me vider dans la paume de sa main.

Je vide complètement ma prostate en me disant qu’il a quand même goûter à mon sperme et qu’il est sûrement plus attiré par les hommes qu’il veut bien me le faire croire. Je lèche avec passion sa main pour avaler tout mon jus et une fois que sa main est propre, j’ouvre la bouche en grand pour lui montrer que j’ai plus rien. Nous restons allongés quelques minutes sur le lit pour reprendre nos esprits après ce fort moment d’excitation.

Puis nous allons, sans un mot, à la salle de bain nous essuyer et nous laver les dents. Nous retournons nous couchés épuisés, Sandrine est toujours pas rentrée. Je m’endors rapidement en me demande ce que demain nous réserve…

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